Enfant, Omar Ibrahim pensait que les monstres appartenaient à un monde extérieur imaginaire. Avec le temps, ils ont pris le visage de la guerre et de l’oppression. La solitude et l’exil aidant, d’autres monstres se sont tapis à en lui : la tristesse, la peur de la maladie et de la mort, le déracinement et la perte des proches.
Conception Omar Ibrahim* (Syrie).
* membre de l’atelier des artistes en exil